Il s'agit de supprimer certaines cotisations sans perte de droits afin de compenser au minimum et le plus souvent d'alléger les cotisations payées par ceux qui travaillent. Les cotisations affectées au financement du chômage versées par les salariés du secteur public comme du secteur privé seront supprimées avant la fin de l'année 2018. Nous proposons par ailleurs une hausse de la CSG de 1,7 %, ce que d'aucuns ont qualifié de spectaculaire lors de la campagne électorale. Il ne s'agit pas de punir certains retraités, comme on voudrait le faire croire, mais d'accorder un nouveau droit universel à la protection contre le chômage basé sur la solidarité nationale.