Comme je l'ai dit dans la discussion générale, nous le contestons d'autant plus qu'aujourd'hui, ce ne sont pas seulement les questions sociales qui fissurent l'Europe mais aussi celle du consentement national, tant d'un point de vue spatial – en Espagne ou en Italie, des tentations séparatistes s'expriment sur fond de politiques d'austérité qui tendent à renforcer les égoïsmes nationaux et régionaux – qu'à l'intérieur même des pays, où ces mêmes politiques entraînent l'aggravation des inégalités.
Pour toutes ces raisons, nous voterons contre l'article 2.