Je ne voudrais pas casser l'ambiance, mais je rappelle qu'il reste à peu près 1 100 amendements à examiner puisque, après le projet de loi de programmation, nous devons discuter du projet de loi de finances. Il est extrêmement intéressant d'avoir de tels débats, et je suis, Dieu sait, très attaché à la liberté d'expression, mais au bout d'un moment, on finit par tourner en rond. On peut avoir un débat sur l'Europe, parfait ; mais en réalité, mes chers collègues, la discussion budgétaire est l'occasion de débattre d'absolument tous les sujets.