Or le peuple français s'est exprimé à deux reprises, au mois de mai puis au mois de juin, sur les projets que portaient vos candidats à l'élection présidentielle et aux élections législatives ainsi que sur celui porté par le Président de la République et par la majorité parlementaire qui le soutient.
Par ailleurs, si nous nous battons contre la dette, ce n'est par fétichisme, par pavlovisme ou par je ne sais quel sentiment de soumission, mais parce qu'elle est l'ennemi de l'État, et plus précisément celui d'un État-stratège, d'un État qui peut investir dans l'éducation, dans la santé, c'est-à-dire dans des politiques publiques – que vous vous avez évoquées, monsieur Roussel – qui protègent les populations.
En définitive, les plus libéraux siègent aux deux extrémités de cet hémicycle.