La grande distribution s'est employée à faire porter à la loi « Égalim » la responsabilité de la hausse du prix d'un certain nombre de produits d'appel. Au-delà de la contractualistation mise en oeuvre dans le secteur du lait, il semblerait que de mauvaises pratiques demeurent et que le ruissellement attendu n'est pas au rendez-vous dans plusieurs secteurs. Quel bilan tirez-vous des négociations et quelles mesures concrètes envisagez-vous pour rééquilibrer de façon effective les relations commerciales entre producteurs et distributeurs ? Je pense à des contrôles, voire à des rappels à l'ordre.