Malgré les efforts que font les pêcheurs pour embarquer des observateurs et utiliser des pingers, des répulsifs acoustiques qui permettent d'éloigner les dauphins des filets, 900 dépouilles de cétacés ont été retrouvées sur les plages en 2018.
Par ailleurs, et comme le dénoncent les ligneurs de la Pointe de Bretagne dans un article paru ce matin dans Le Télégramme, les frayères de bars sont pillées : près de 100 tonnes ont été débarquées chaque semaine dans les criées bretonnes entre le 18 février et le 1er mars. Entre les ligneurs et le comité des pêches de Bretagne, qui dois-je croire ? En tout état de cause, nous devons trouver une solution, comme au nord du 48e parallèle où a été mise en place une période de repos biologique durant les mois de février et de mars, période de reproduction du bar. C'est à cette condition qu'il pourra être pêché le reste de l'année.