Dans un documentaire diffusé dimanche sur l'exploitation forestière, on apprenait, effrayé, qu'un quart de notre production de chêne serait exporté vers la Chine. Certains acteurs y affirmaient qu'une sélection qualitative était opérée pour le marché français, mais ils semblaient contredits par les clients chinois. Les industriels, qu'il s'agisse des scieurs ou des transformateurs, n'ont pas manqué de nous alerter sur le sujet. Élu de la Nièvre, où la production de chêne est importante, je souhaiterais savoir quelles mesures peuvent être prises pour rassurer la filière.