Les vins d'Occitanie souffrent depuis de nombreuses années de la concurrence de vins étrangers, suite à un étiquetage pouvant prêter à confusion. Dans la loi « Égalim », nous avions obtenu, avec le soutien de cette commission, une avancée, mais le Conseil constitutionnel est revenu sur la disposition. La réponse globale que vous avez faite sur l'étiquetage serait de nature à susciter de nouvelles craintes parmi les producteurs. Pouvez-vous préciser votre position ?