Quand on est consommateur – puisque l'on parle ici de l'achat d'une complémentaire santé comme d'un acte de consommation – on a envie, me semble-t-il, de s'investir au-delà de sa propre assurance, et de choisir en fonction des engagements de ces complémentaires. Il me semble donc légitime d'être informé de leurs actions d'intérêt public.
Je conçois que les parlementaires puissent se saisir de telles questions – il en est de même pour l'évaluation de l'article 1er de la loi relative à la sécurité de l'emploi, dite ANI, à laquelle j'ai fait allusion tout à l'heure – , mais il me semble que mon amendement est tout à fait dans l'esprit du rapport dont nous avons adopté le principe en commission.