Le secrétaire général de l'Organisation des Nations unies (ONU), Antonio Guterres, estime que le monde a deux ans pour agir contre le changement climatique, sauf à affronter des conséquences désastreuses. Amiral, vous avez précisé que les conséquences géopolitiques n'étaient pas suffisamment considérées. J'ai une seule question à vous poser. L'heure n'est-elle pas venue d'instaurer un droit d'asile climatique qui s'imposerait à tous et, indirectement, à tous ceux qui ne respectent pas les accords de Paris ?