Je vous remercie de votre réponse. Effectivement, la règle est claire mais, sur le terrain, elle suscite des incompréhensions. Sans doute faut-il à présent l'expliquer et peut-être la faire évoluer, pour éviter certaines fermetures de classe.
S'agissant de la situation de Cambremer, c'est à M. Blanquer que je souhaitais la soumettre. Je pensais qu'il serait là ce matin. Cette école, qui a fait le choix de conserver quatre jours et demi de scolarisation, offre un accueil d'une très grande qualité aux enfants en milieu rural. La situation de Cambremer, qui compte 1 200 habitants, est un dommage collatéral de la loi NOTRe. Le préfet de l'époque n'a pas appliqué le SDCI, le schéma départemental de coopération intercommunal, qui avait été décidé avec les élus.