Je partage totalement l'inquiétude qui vient d'être exprimée par notre collègue Dharréville. J'ai bien entendu M. Darmanin, lors des questions au Gouvernement, assurer qu'il disposait de toute une équipe qui travaillait au cas par cas pour que les salariés du RSI soient replacés sans qu'ils aient à subir de problèmes liés à la mobilité géographique. Mais quand un siège du RSI se trouve dans une ville où il n'y a pas de CPAM, que deviendront ses salariés ?
J'ai par ailleurs très bien compris l'engagement du Gouvernement selon lequel le montant des cotisations des travailleurs indépendants ne varierait pas la première année ; mais qu'en sera-t-il les années suivantes ?