Il faut pouvoir en discuter et se donner le temps de la réflexion. Cela ne signifie pas que le travail des sapeurs-pompiers n'est pas reconnu. Leurs besoins et leurs demandes sont réels : nous travaillons pour y répondre.
Je vous remercie, monsieur le rapporteur, d'avoir salué le ton apaisé que j'ai employé. Néanmoins, pendant mon intervention, j'ai entendu fuser des mots comme « hypocrite », par exemple, ce qui n'est pas normal.