Il s'agit de souligner la bizarrerie que vient de relever ma collègue. Autre exemple : sur Amazon, la mise en relation, par le biais d'un marketplace, entre des cavistes et des personnes désirant acheter du vin échappe à la taxe. Pourquoi ? Cela vaut du vin, de l'alcool, de produits énergétiques.
Il y a le droit européen, j'entends bien ; mais rien ne nous empêche ici, comme législateur français, de prendre nos responsabilités – au besoin, si l'Union européenne n'est pas d'accord, en maintenant une législation française qui est correcte, juste, cohérente. À défaut, c'est une nouvelle niche qui va être accordée à des géants du numérique.