Monsieur le ministre, j'ai du mal à souscrire à vos arguments. En somme, ce qui était bon à la fin de l'année 2017 ne le serait plus aujourd'hui ! Vous comprendrez que c'est difficile à admettre.
Je vous rappelle que vous aviez la fierté, à la fin de l'année 2017, d'annoncer la baisse de l'impôt sur les sociétés, en avançant les arguments que vous venez de développer, et en comparant la France aux autres pays européens.