Aux oubliettes, l'exigence de pouvoir d'achat des salariés et des retraités ; au rancart, le besoin de services publics de proximité, avec la commune comme ciment ; aux orties, le nouveau souffle démocratique du référendum d'initiative citoyenne.
Vous dites avoir entendu les Français mais, au bout du compte, la seule oreille que vous leur avez prêtée, c'est l'oreille droite ; l'autre est restée sourde. Comment pouvez-vous, après cette crise, prendre le risque d'abîmer un peu plus la République ?