Nous travaillons dans deux directions. Tout d'abord, nous souhaitons éviter de perdre ces 700 millions d'euros, comme cela s'est déjà produit dans le passé, car ce serait un drame absolu pour les associations et les agriculteurs, qui ont déjà pris des engagements ou lancé des transformations locales. Ensuite, l'État a tout fait pour aider les régions. Il continue de le faire, afin que les procédures soient accélérées pour payer ce qui doit l'être. Nous avons mis en place un groupe de travail qui fait le lien entre les régions et l'Agence de services et de paiement, ainsi qu'un partenariat destiné à former les agents des conseils régionaux, dans l'optique de payer plus vite.
Mais, oui, madame la députée, vous avez raison, ce système ne peut pas perdurer. Pour la prochaine politique agricole commune, il faudra en trouver un autre, pour que les mêmes causes ne produisent pas les mêmes effets.