Difficile, en effet, de ne pas mettre en relation les centaines de milliers de contributions au grand débat et les signatures de la pétition dite de « l'affaire du siècle », comme il serait inconvenant et déraisonnable de ne pas se réjouir du succès de la marche pour le climat. Les Français, nos compatriotes, nous ont dit qu'ils étaient prêts à changer de comportements, mais qu'ils ne voulaient pas être pris au piège et qu'ils ne voulaient pas opposer la fin du mois et la fin du monde.