Deuxièmement, nous considérons depuis le début du mandat qu'il ne peut y avoir de réforme fiscale sans une réelle baisse de la dépense publique. Des ajustements sont nécessaires sur la progressivité et les taux, sur la répartition et l'équité de l'effort demandé aux Français. Mais le sujet de l'efficacité des dépenses publiques, et donc de leur légitimité, est central.