Nous prônons aussi l'assouplissement du référendum d'initiative partagée, prévu par l'article 11 de la Constitution, dont nous souhaitons renverser la logique : l'initiative de la proposition de loi appartiendrait uniquement au peuple, non plus aux parlementaires comme aujourd'hui – quelque 200 parlementaires sont en train d'y recourir au sujet d'Aéroports de Paris. En revanche, nous sommes opposés au référendum d'initiative citoyenne, qui conduirait à une véritable instabilité institutionnelle, politique et législative, ainsi qu'à l'affaiblissement de la démocratie représentative.
Changer de logiciel, c'est aussi bâtir la République des territoires…