Monsieur le Premier ministre, l'avènement du nouveau monde n'a rien changé : la question des inégalités n'a pas disparu. Elle s'est même aggravée, elle ressurgit à travers ce que vivent les Français dans les territoires de la France périphérique, rurale, montagnarde, insulaire ou ultramarine. En réalité, elle était enfouie là où personne ne veut mettre les mains hormis les élus locaux, qui font face à la pénurie organisée par l'État et sont au travail pour créer, réaliser et garder le cap au milieu de la tempête.
Je crois en la politique. J'y crois profondément. Notre groupe croit en la politique pour réparer la France : écouter, décider, faire, rendre des comptes, en ayant toujours le souci de proximité, de sincérité et d'authenticité…