Beaucoup d'entre vous se sont inquiétés de ma santé, notamment de ma vue ou de mon audition. Le lieutenant d'artillerie que je suis n'en prend pas ombrage, car les lieutenants d'artillerie sont habitués à ce que cela tonne assez fort. Mais, monsieur Ruffin, monsieur le président Chassaigne, monsieur Coquerel, à travers moi vous dites au Gouvernement qu'il n'entendrait pas ce que disent les Français.