À cet égard, quid des projets d'intérêt européen commun ? Celui sur les nanotechnologies – Nano 2022 – vient d'être lancé : qu'en est-il des autres secteurs, qu'il s'agisse de l'intelligence artificielle, des batteries électriques ou de la voiture autonome ?
C'est en tenant compte de ces trois dimensions que nous pourrons dessiner une politique industrielle à la fois offensive et défensive, qui repose sur une visibilité à long terme, avec des modalités d'intervention renouvelées entre un État stratège, les filières, les collectivités locales bien sûr et l'Europe.