Je rejoins les propos de la présidente Rabault et de Mme Kuster. S'il fallait obligatoirement financer une structure pour être membre de son conseil d'administration, les parlementaires ne seraient pas représentés dans beaucoup d'instances ! Pourtant, le nombre d'organismes extraparlementaires dans lesquels nous siégeons sans les financer est élevé.
Sur le fond, nous examinons en discussion commune trois amendements qui n'ont rien à voir les uns avec les autres. Monsieur le ministre, êtes-vous favorable à la présence de représentants du peuple dans le conseil d'administration du futur Centre national de la musique ?