Nous ne pouvons que nous réjouir, sur l'ensemble des bancs, de l'inscription du Bureau export au sein du Centre national de la musique. La demande émanait de plusieurs parlementaires, dont les amendements, jugés irrecevables au titre de l'article 40, n'ont pas pu aboutir. Ce point conduira peut-être à d'autres discussions.
Le Bureau export, qui avait déjà été renforcé budgétairement, grâce à une initiative conjointe de divers groupes lors de la discussion du projet de loi de finances, voit son rôle consacré, tout comme celui du Centre national de la musique dans l'exportation et le rayonnement international des oeuvres. Nous adhérons donc pleinement à cette excellente disposition.