C'était précisément l'objet de ma question : aujourd'hui, nous avons en France un tarif régulé, autour de 42 euros. Malgré tout, assurer le renouvellement ou la prolongation des équipements impliquerait d'avoir un coût réel de 60 euros : l'écart entre les deux montants est d'une certaine façon payé par le contribuable. Ce tarif de 42 euros ne devrait-il pas être débloqué pour parvenir au véritable coût de l'énergie, permettant d'envisager un renouvellement ?