Monsieur le secrétaire d'État, le statut de l'élu, c'est un peu l'Arlésienne. Alors qu'on en parle depuis des années, quelle que soit la majorité en place, on ne voit jamais rien venir. J'ai bien entendu les propos du Président de la République, mais, comme saint Thomas, je ne crois que ce que je vois.