Vous avez cité, s'agissant de l'élaboration du référentiel national, l'exemple québécois. D'aucuns s'accordent à dire que la politique de la protection de l'enfant n'est pas la même qu'en France, notamment en ce qui concerne l'autorité parentale qui est plus facilement suspendue, la politique étant plus centrée sur l'enfant que sur la cellule familiale. Qu'en pensez-vous ?
Par ailleurs, pouvez-vous nous donner votre vision sur le tiers digne de confiance, une notion qui ne se développe pas beaucoup en France, alors qu'il me semble qu'une enfant serait mieux chez un membre de sa famille qu'en institution ?