La construction d'un langage commun est nécessaire. Les collègues de la PJJ sont mobilisés sur la question du référentiel national, qui l'utilise dans le cadre de leurs missions d'investigation et d'orientation que leur confie le magistrat.
Un langage commun entre professionnels, sur la thématique de la protection de l'enfance, me semble être la meilleure façon pour dialoguer et partager les diagnostics et les objectifs des prises en charge.
Concernant l'organisation, sur le territoire, du dispositif d'accueil et de prise en charge, c'est la PJJ qui dispose des habilitations. La PJJ délivre l'habilitation à la structure d'accueil ou d'AEMO, en lien avec les agréments de l'aide sociale du département ; il s'agit d'une compétence partagée. Comment construire de vraies politiques d'habilitation et d'agrément à partir des besoins repérés, des bonnes pratiques et des contrôles nécessaires ?