Je n'ai pas le sentiment que l'on ait répondu précisément à mon amendement no 177 , d'ailleurs conforme à l'esprit de la loi pour une République numérique, au site unique dédié et à la démarche des « données ouvertes ». De nombreux donateurs étrangers, pas forcément enthousiastes à l'idée de lire, en français, un rapport solennellement remis au Parlement, pourraient accéder à des données chiffrées précises, documentées, qui les intéresseraient et les rassureraient quant à l'utilisation de leurs dons.
Nous sommes au XXIe siècle et il est souvent question, dans cet hémicycle et ailleurs, de « révolution numérique », de « souveraineté numérique », d'« adaptation de l'État à l'ère numérique »… Pourquoi ne pas adopter la démarche des « données ouvertes » pour quelque chose d'aussi simple ?