Monsieur Libault, l'une des grandes orientations de votre rapport cible la filière des métiers du grand âge. Face au défi démographique à venir et aux enjeux actuels de recrutement, il me semble essentiel d'instaurer une politique de filière pour ces métiers. Il importe notamment d'adapter les capacités de formation et de faire évoluer les contenus vers de nouvelles compétences techniques et non techniques permettant d'améliorer la « bientraitance ». Selon vous, quels chantiers devraient être mis en place assez rapidement pour permettre aux métiers du grand âge d'être plus attractifs, mais aussi plus évolutifs et adaptables ?