Il a trait à une préoccupation liée à l'évolution technologique, qui affecte le travail des agents publics, notamment de ceux qui sont en position d'encadrement. Il s'agit de reconnaître le droit à la déconnexion, c'est-à-dire la capacité, à un moment, de ne pas être esclave de l'outil – téléphone portable ou autres – , et de protéger mieux qu'aujourd'hui les conditions de travail de l'agent.
J'ai bien conscience que certaines missions sous astreinte commandent de rester connecté en permanence, mais cela n'empêche pas d'apporter la précision qui fait l'objet de l'amendement.