Dans le même esprit que le précédent, cet amendement vise à insérer, après le mot « projets », les mots « dont ceux du secteur associatif en lien avec la politique de la ville ».
La proposition de loi oublie deux acteurs : d'une part, les structures d'ingénierie départementales ou intercommunales préexistantes dont je viens de parler, et d'autre part le secteur associatif.
Celui-ci réalise un travail considérable sur certains aspects, notamment en matière environnementale, s'agissant par exemple de la qualité de l'air. Il est dommage que ces acteurs ne soient pas associés. Plus nous serons nombreux, moins l'Agence aura à financer directement des actions.
J'ai bien compris que le personnel mis à disposition de l'Agence serait très peu nombreux. Aujourd'hui, se passer de la compétence de ces opérateurs est une erreur.