Ce débat est intéressant. Vous dites que la mission de veille et d'alerte s'exercera partout. Pourtant, bien que l'Assemblée ait voté la loi montagne à l'unanimité en 2016, après le constat d'échec de la loi de 1985, celle-ci n'est pas appliquée. On voit bien l'utilité d'insister pour qu'une agence d'État fasse enfin ce pour quoi le Parlement s'est exprimé à l'unanimité : respecter la spécificité des montagnes, un territoire parmi les plus faibles, qui est touché quotidiennement par des démantèlements !
La confiance doit être restaurée. Pour cela, l'Agence doit s'engager à effectuer une veille sur la façon dont est appliquée la loi de 2016, qui devait renforcer le dispositif et qui malheureusement, à l'heure actuelle, n'est pas du tout appliquée.