Cet amendement important découle des échanges qui ont eu lieu dans le cadre de la CMP, à laquelle a participé mon collègue Martial Saddier. Il s'agissait de déterminer dans quelles circonstances une décision du conseil d'administration de l'ANCT devait recevoir l'aval des élus. L'idée était de faire confiance aux élus tout en s'assurant qu'un nombre suffisant d'entre eux puisse s'inquiéter du contenu d'une délibération. Aussi l'amendement no 50 reprend-il une préconisation des sénateurs permettant à trois quarts des élus d'opposer un veto à une délibération. Il y a là une marge de sécurité permettant de préserver le bon déroulement des débats au sein du conseil d'administration de l'Agence.