Je comprends bien vos réserves, madame la rapporteure, monsieur le secrétaire d'État, mais je tiens tout de même à rappeler deux choses. D'une part, nous avons pris soin d'utiliser le terme « accompagner », et l'accompagnement n'est pas une relation hiérarchique. D'autre part, les « actions de formation » n'impliquent pas nécessairement un lien hiérarchique, ce peut être des moments de dialogue sur des questions éventuellement particulièrement compliquées. Il me semble donc que votre analyse de cet amendement est un peu sévère en comparaison de l'intrusion que pourrait représenter la HATVP pour les administrations. Je ne le retire pas : je pense qu'il peut tout à fait être adopté, quitte à être amélioré dans le cadre de la navette, en tenant compte de vos observations qui, me semble-t-il, ne sont pas de nature à entièrement neutraliser les effets de ce dispositif que tous souhaitent voir instaurer..
Ainsi, nous aurons affirmé, en première lecture, la nécessité d'un accompagnement par la HATVP.