La réflexion est ouverte, en effet. De deux choses l'une : soit nous donnons plus de transparence à l'objet existant et clarifions les relations qu'il entretient avec les deux ministères concernés, soit nous décidons de supprimer l'Agence, ce qui signifie qu'il faudra rebudgétiser tous les montants engagés. Je ne vous cache pas qu'il me semble envisageable de réfléchir au rapprochement éventuel d'agences qui exercent des missions redondantes. En l'état du projet de loi, je préfère maintenir l'AFITF et lui donner davantage de transparence.