Une réflexion est en cours avec la filière du transport routier. Je préfère ne pas préjuger de l'issue de ce dialogue. En outre, si nous créions des recettes liées au transport routier, il serait plus opportun qu'elles bénéficient à l'État afin qu'il finance les infrastructures de transport les plus structurantes. Enfin, il faudrait un système qui ne soit pas discriminant à l'égard des transporteurs français. Il nous appartient de trouver le juste mécanisme pour faire en sorte que les transporteurs en transit sans contribution fiscale en France soient visés à titre principal.