Je demande, en effet, le retrait de ces amendements, à défaut de quoi j'émettrai un avis défavorable, en cohérence avec ce que j'ai dit précédemment. Par ailleurs, je ne pense pas qu'il soit souhaitable d'augmenter la pression fiscale en portant le taux du versement mobilité à 2,95 %. Il est vrai que c'est la situation en Île-de-France, mais je ne pense pas qu'il soit intéressant de le faire ailleurs. Il faudrait essayer de trouver d'autres leviers de financement des politiques de transport que l'augmentation de la pression fiscale sur les entreprises.