Je suis politiquement d'accord avec le premier amendement. Je ne fais pas partie des grands défenseurs de la gratuité : tout a un coût, et c'est peut-être là un des actes les plus importants dans le quotidien des citoyens. Les tarifications sociales et solidaires permettent par ailleurs d'avoir une accessibilité maximale pour toutes les personnes qui se trouvent le plus dans le besoin. L'amendement CF48 tend à privilégier la mise en place de tarifs solidaires en lieu et place de mesures de gratuité. C'est plus un acte politique qu'un élément fondamental qui serait inscrit dans ce projet de loi. Je m'en remets à la sagesse de la commission sur cet amendement, tout en demandant le retrait du CF2 en sa faveur.