Mme la rapporteure a raison de dire que je propose d'utiliser concomitamment deux dispositifs, et M. le secrétaire d'État de rappeler ce qui existe déjà, mais l'idée est non pas de les confondre mais de les faire se chevaucher pour ainsi gagner du temps par rapport à la durée qu'exige aujourd'hui le rétablissement de l'agent. Comme le souligne très justement mon collègue, il s'agit de ne pas placer l'agent dans l'environnement professionnel dans lequel se déclenche habituellement la procédure d'accompagnement, mais d'avoir d'intervenir – en proposant pourquoi pas éventuellement un accompagnement thérapeutique ? – dans un environnement plus rassurant, moins contraint y compris par le temps. J'entends bien les arguments de la commission et du Gouvernement, je les trouve solides, mais je le maintiens.