Je salue le travail d'interprétation et de calcul accompli par notre collègue Cendra Motin à partir de l'étude d'impact. Malheureusement, le secrétaire d'État persiste à refuser de se prononcer sur les scénarios qui en découlent. Or, en additionnant le coût du dispositif pour l'assurance chômage et celui des ruptures individuelles proprement dites, on s'aperçoit que vous envoyez à nos collectivités, à nos hôpitaux, au système d'assurance chômage, selon votre propre chiffrage, une facture de 200 millions d'euros au minimum : ce n'est pas une paille !