Je trouve cette période de trois ans ridicule. Quand on part dans le cadre d'une rupture conventionnelle, on part : c'est quasi définitif. Naturellement, dans la vie, on a le droit de se tromper : je veux donc bien que l'on puisse revenir, mais je souhaite que la durée de la période pendant laquelle le retour implique le remboursement soit portée à neuf ans – c'est le sens de l'amendement no 1029 – ou, à défaut, à six ans – c'est l'amendement no 1030 . Cela permettrait aussi de montrer, compte tenu de la périodicité des échéances électorales, qu'il ne s'agit pas là d'un petit montage électoraliste, mais d'une véritable volonté d'aider les gens à partir.