Voici un signe de bonne volonté et de bonne foi : je n'ai pour ma part pas de difficultés à reconnaître une disposition pertinente, comme cet article 29. Lorsque l'on examine un texte en deuxième lecture ou en lecture définitive, il a déjà été l'objet de longs débats. Il ne nous pose donc aucune difficulté de réduire à dix puis à cinq minutes le temps de parole pour défendre une motion. En revanche, en amont, cela ne peut pas se passer de la même manière.