Je me permettrai néanmoins d'avancer et de vous dire deux ou trois choses très importantes.
Comme vous l'avez dit, nous voulons en effet une PAC forte dans une Europe forte. Le Président de la République et le Premier ministre ont fixé deux lignes rouge. La première est que nous n'acceptons pas la proposition de la Commission européenne relative au budget de la PAC, qui revient à laisser attaquer l'agriculture de toutes parts et qui, en France, obligerait certains agriculteurs à mettre la clé sous la porte. La baisse de 15 % du budget de la PAC proposée par la Commission est inacceptable. Pour l'instant, nous avons une majorité. Espérons que cette majorité tiendra.