Une erreur humaine, avez-vous dit. J'y vois plutôt le signe d'une bureaucratisation et d'une démission de l'État. Il eût fallu sans doute que les personnels des formations aient le temps de se pencher sur la distinction, dans votre novlangue, entre « listes d'appel » et« listes d'attente ».
Vous avez répondu aux déceptions par le mépris, en affirmant que, « de toute façon, ils n'auraient jamais dû avoir ces formations », parce que vous savez que, de toute façon, il n'y aura pas de places pour tout le monde.