Vous me permettrez, chers collègues, de commencer par un brin d'humour : le règlement de l'Assemblée nationale n'a manifestement pas besoin d'être réformé, puisque nous n'utilisons pas tous notre temps de parole, que les débats sont sereins, et les relations entre oppositions et majorité des plus cordiales ! Embrassons-nous, Folleville !