La fin de l'emprise territoriale de Daech remet-elle en question si ce n'est l'existence de nos deux bases aériennes au Levant, du moins leurs moyens et leur configuration ? Par ailleurs, à l'époque de l'opération Hamilton, nous n'avions pas jugé opportun de pousser trop loin nos questions, mais un an après, quel est le retour d'expérience qu'en fait l'armée de l'air, sans préjudice de celui qu'en fait la marine nationale ?