J'ai cinq questions à vous poser.
Vous avez évoqué la situation des mineurs non accompagnés, et j'aimerais savoir comment vous concevez votre rôle vis-à-vis d'eux. Que faudrait-il améliorer, selon vous, dans le processus d'accueil et d'identification de ces mineurs isolés ?
Vous avez mentionné la loi de 2016 : pourquoi, selon vous, n'arrive-t-on pas à l'appliquer ? Avez-vous identifié des points inapplicables ?
La situation des professionnels est un point important pour nous, car nous savons que ce n'est pas un métier facile. Puisque vous les connaissez bien, pouvez-vous nous dire ce qu'il faudrait améliorer dans leur formation ou dans leur accompagnement au quotidien ?
J'ai entendu votre réflexion sur le pilotage national et j'aimerais savoir si vous avez des propositions à nous faire.
Enfin, avez-vous de nouvelles propositions à faire pour la protection de l'enfance ? Faut-il inventer d'autres modes de placement ou, par exemple, remettre au goût du jour ce que l'on appelle les lieux de vie ? Faut-il, enfin, inventer quelque chose de nouveau en matière d'accompagnement en milieu ouvert ?