À partir de là, on a organisé l'opacité. En tant que président de la commission des finances, j'avais le plus grand mal à obtenir la même ventilation. Or sous la précédente législature, le bouclier était plus coûteux que celui de Nicolas Sarkozy, puisqu'il dépassait le milliard d'euros. Chaque année, j'étais obligé d'aller faire un contrôle sur pièces et sur place, à Bercy, pour obtenir les chiffres.